Z opóźnieniem wprowadzam pozostałe prace polskich artystów z grudniowej aukcji paryskiego Ader. W przypadku tej pracy, przypisanej Aleksandrowi Kucharskiemu, wygląda, że ktoś dużo więcej wiedział od ostrożnych pracowników (ekspertów) domu aukcyjnego skoro tak zaiskrzyło na aukcji. Czasami stara notatka potrafi dodać wartości do pracy i sporo wyjaśni a czasami potrafi być mylna. Trudno licytować taki obraz bez przyjrzenia mu się osobiście oraz bez dodatkowych konsultacji.

Lot 2. Alexander KUCHARSKI (1741-1819) [attributed to]. Portrait of a woman wearing a tricolor ribbon. Oil on canvas. Unsigned. On the back, a label inscribed: “Portrait Countess Potocka attributed [to] Polish painter Kojarski 18th”. (Restorations). 54 x 47 cm. Estimate 5,000 – 7,000 euro. Ader. 12/19/22. Sold 12,500 euro

Portret w pastelu przypisany Aleksandrowi Kucharskiemu, być może na podstawie napisu z tyłu ramy oraz okresu w którym osoba portretowana żyła. Nie musi to być praca ręki Aleksandra Kucharskiego, zwłaszcza, że te powielano często (np. Marii Antoniny). Korzystam z okazji by przypomnieć postać polskiego artysty dodająć o nim broszurkę napisaną przez Jerzego Mycielskiego ponad 120 lat temu.

Lot 682. Kucharski, Aleksander. Porträt einer Unbekannten (Madame de Dombasle?). Pastell auf Pergament. Anfang der 1780er Jahre. Bildgröße: 43 x 35 cm (oval). Auf Spannrahmen gebracht, dort in Tusche signiert: “A. Kucharski”. Im Profilrahmen mit konkaver Verglasung.
A. Kucharski (1741-1849), in Warschau als Sohn eines Historienmalers geboren, erhielt er seine künstlerische Ausbildung an der Pariser Akademie, u.a. bei Vien und Carle van der Loo. Seine Arbeiten wurden ausgestellt und prämiert, er entschied sich jedoch gegen die protegierte Spezialisierung auf historische Sujets. Stattdessen eroberte er die höfische Gesellschaft Frankreichs mit seinen Porträts. Unter anderem porträtiert er mehrfach Marie Antoinette und schuf womöglich ihr letztes Bildnis. – Das Pergament im oberen Drittel etwas gewellt und mit zwei natürlichen Unebenheiten oben links (je ca. 2 x 2 cm), im oberen Rand teils aus der Nagelung ausgerissen, Farbschicht etwas berieben. Estimate 600 euro. Nosbüsch & Stucke GmbH. 05/19/22

Być może jest to wczesna praca Kucharskiego  (sygnowana jeszcze Kucharski a nie jak później Kucharsky) z okresu mecenatu Stanisława Augusta Poniatowskiego,  gdy jeszcze malarz nie zdecydował się poświęcić pracom portretowym. Ale to tylko moja hipoteza.

Lot 91. Alexandre KUCHARSKI (Varsovie 1741 – Paris 1819)
Vierge et l’enfant
Crayon noir
17,5 x 24,5 cm
Signé en bas à gauche Kucharski Delineavit
THEVIRGIN AND A CHILD, SIGNED LOWER LEFT; BLACK PENCIL; 6 3/4 X 9 2/3 IN

Estimate 1,000-1,500 euro. Leclere – Maison de Ventes. 02/24/17 (171100)

Lot 104. KUCHARSKI Alexandre (1741-1819).
Portrait du roi Louis XVI de France (1754-1793).
Huile sur toile, conservée dans un encadrement ancien en bois doré.
Accidents au cadre. Bon état
A vue : H. : 71 cm – L. : 56 cm.
Cadre : H. : 97 cm – L. : 81 cm

Estimate 18,000-25,000 euro. Coutau Begarie. 02/22/17

Lot 105. KUCHARSKI Alexandre (1741-1819).
Portrait de la reine Marie-Antoinette de France (1755-1793).
Huile sur toile, conservée dans un encadrement ancien en bois doré.
Accidents au cadre. Bon état
A vue : H. : 71 cm – L. : 56 cm.
Cadre : H. : 97 cm – L. : 81 cm

Provenance : ancienne collection du comte Guillaume de Sabran-Pontevès (1836-1914), puis à sa fille (voir étiquette au dos du tableau : appartient à Dauphine, janvier 1914), Dauphine de Sabran-Pontevès (1873-1946), épouse d’Henri de Gondrecourt (1867-1956), transmis ensuite par héritage à leur fille Béatrix (1901-1985), épouse de Bertrand de Bonnecorse-Benalt de Lubières (1898-1940), voir étiquette au dos du tableau (Marie-Antoinette par Kucharski, comtesse de Bonnecorse-Lubières), acquis par les actuels propriétaires lors de la vente de la succession de la comtesse Béatrice de Bonnecorse-Lubières, voir catalogue Sotheby’s juin 1987, sous le n°407 à Monaco.

Exposition : « Marie-Antoinette – Archiduchesse – Dauphine et Reine », Château de Versailles, du 16 mai au 2 novembre 1955, sous le n°89, page 48. Voir au dos du tableau l’étiquette de l’exposition en question : « Expo : Marie-Antoinette, « Marie-Antoinette » par Kucharski, comtesse de Bonnecorse-Lubières » et l’étiquette du transporteur de l’époque portant l’inscription: « Bonnecorse, Château de Roquemartin »

Historique : selon le descriptif du catalogue de l’exposition « Marie-Antoinette –Archiduchesse – Dauphine et Reine » organisée à Versailles en 1955, du catalogue de la vente Sotheby’s de juin 1987, des ouvrages publiés par Marguerite Jallut et au regard des étiquettes de collections se trouvant au dos des tableaux nous pouvons dire que ces portraits exécutés entre 1789 et 1790, sont très probablement les premiers portraits officiels peints par l’artiste ou provenant de son atelier. Ces portraits pourraient être ceux appartenant au comte de Provence qui devenu Louis XVIII, les avaient placés dans son cabinet aux Tuileries. Il les a par la suite offerts à la famille de Sabran-Pontevès, dans laquelle nos deux portraits sont restés avant d’être vendus en 1987 chez Sotheby’s, puis acquis par les actuels propriétaires.
Par ailleurs, nous savons aussi que, jusqu’en octobre 1789, la reine eut pour peintre favori, Madame Louise-Elisabeth Vigée Le Brun (1755-1842). Ce n’est que lorsque celle-ci quitta la France, qu’il fallut la remplacer, et que Kucharski fut choisi. Sur le portrait de la reine, ses traits y sont modelés d’une manière tout à fait particulière, les boucles tombent sur les épaules, un petit diadème triangulaire fleurdelisé est posé sur sa tête, diadème utilisé aussi par Piat Sauvage (1744-1818), François Dumont (1751-1831) et par le sculpteur Louis-Simon Boizot (1743-1809). Enfin l’auteur de « Kucharski, dernier peintre de Marie-Antoinette », Marguerite Jallut, qui fut conservateur attaché à Versailles, précise en parlant dudit portrait qu’un : « exemplaire de ce portrait fut donné plus tard à la famille de Sabran (se trouvant actuellement dans la collection de la comtesse de Gondrecourt), qu’il en fut fait des copies au XIXe (dont une se trouve dans la collection de la princesse de Polignac) ». Plus tard, Marguerite Jallut écrivit dans un second ouvrage : « Marie-Antoinette et ses peintres », publié en 1955, toujours en parlant du portrait que nous mettons en vente et dont pour la première fois elle en fit la reproduction dans son livre, elle dit : « Ce portrait par Kucharski appartint plus tard au roi Louis XVIII, il était dans le cabinet du roi aux Tuileries… ». En revanche, nous n’avons pu trouver trace du pendant représentant le roi Louis XVI, qui, selon toute vraisemblance, n’a jamais été reproduit.

Bibliographie : « Kucharski dernier peintre de Marie-Antoinette », par Marguerite Jallut publié dans la revue d’histoire de la Philosophie et d’Histoire général de la Civilisation, juillet-décembre 1939, page 256 et 257. « Marie-Antoinette et ses peintres », par Marguerite Jallut, Paris, 1955, page 56 et 57. « Les pastels », par Xavier Salmon, musée nationale du château de Versailles, page 92 à 94.

Praca z proweniencją ale patrząc na portret Delfina wiszący w Wersalu to wydaje się, że obraz z aukcji jest dużo gorszy. Obraz opisany w katalogu jako ‘after Kucharski’.

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Lot 99. Alexander KUCHARSKI (Varsovie, 1741 – Sainte-Périne, 1819), d après. Portrait du dauphin Louis Charles de France. Toile. 65 x 53,5 cm. Provenance : marquis de Biencourt, château d Azay-le-Rideau. Sa descendance, château de Touraine. Portrait of DAUPHIN Louis Charles of France, after the portrait by Kucharski in 1792 at the château de Versailles. Canvas. From the former collection of the Marquis de Biencourt at his château d Azay-le-Rideau in the Loire Valley. D origine polonaise, Alexandre Kucharski devint rapidement le peintre de l aristocratie, la nationalité de la reine Maria Leczinska n étant pas étrangère à cette promotion. En 1789, Alexandre Kucharski remplace madame Vigée-Lebrun auprès de la Reine Marie-Antoinette et réalise son portrait ainsi que ceux de la princesse de Lamballe, du comte d Artois, de l Impératrice Catherine II de Russie ainsi qu une très célèbre esquisse du Dauphin Louis XVII conservée au château de Versailles. Estimate 800-1,200 euro. Rouillac. 6/7/15

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Loius Charles, Delfin, 1789. Wersal.